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Mika Composes Soundtrack for New Film "Princes of the Desert" (formerly "TEHU")


Kumazzz

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BFMTV

https://www.bfmtv.com/people/cinema/avec-zodi-tehu-mika-signe-sa-premiere-bande-originale-pour-la-cinema_AV-202302080212.html

Avec "Zodi & Tehu", Mika signe sa première bande-originale pour la cinéma

 

Le chanteur a composé la musique du film Zodi & Tehu, frères du désert, en salles ce mercredi. Un film familial sur l'amitié entre un nomade et un bébé dromadaire.
 

À 39 ans, Mika s'essaye à la bande-originale de cinéma. Le chanteur a composé la musique de Zodi & Tehu, frères du désert, en salles ce mercredi. Un film familial avec Alexandre Lamy, sur l'amitié entre un jeune nomade et un bébé dromadaire orphelin.

"Quand Eric [Barbier, le réalisateur, NDLR] m'a dit que c'était Mika qui allait faire la musique, je me suis dit, 'Ah bon?'. C'est génial d'avoir l'idée de proposer à Mika. Tout le monde nous dit que c'est une idée géniale", s'est exclamée l'actrice sur BFMTV.

"J'ai appris énormément"

C'est une première pour le chanteur, qui a pu réaliser un rêve d'enfant, raconte-t-il à notre micro: "Quand j'avais 8 ans, j'ai dit à ma mère que je voulais faire de la musique de films. Sauf que je ne savais pas lire la musique, je faisais tout à l'oreille. Donc on ne m'a pas accepté au Conservatoire. Et j'ai opté pour faire le chant classique."

 

Dailymotion

 

 

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PODCAST

France Musique

 

Mika, pop star sur les toiles

Mercredi 8 février 2023

 

Aux croisements entre pop et classique, concerts à Bercy ou à la Philharmonie, Mika casse les codes de la musique. En attendant son prochain album, il élargit encore ses horizons en signant sa première musique de film pour "Zodi et Téhu, frères du désert" d’Éric Barbier, en salles aujourd'hui.

Avec

Covid oblige, sa dernière tournée, le "Revelation Tour", avait été arrêtée en plein vol. Mais Mika avait décidé de ne pas la reprendre pour se consacrer à d'autres projets : concerts philharmoniques à l'Opéra Royal de Versailles puis à la Philharmonie de Paris, campagnes d'affiches pop à Paris contre la morosité pandémique et même carte blanche sur France Musique pour partager ses coups de cœur musicaux… En 2023, le chanteur franco-libanais explore encore une nouvelle manière de faire de la musique en signant la bande originale du film Zodi et Téhu, Frères du désert de Eric Barbier, en salles aujourd'hui.

 

 

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   In the Instagram Live today someone (sorry I can't remember their name) was saying that Mika's soundtrack should be played live with an orchestra. And I'm just thinking how awesome that would be and it's possibly do-able. There's been symphonic concerts recently to honour Joe Hisaishi (Studio Ghibli), where his music is played in a theatre to various scenes from the movies he's worked on (there's a screen set up on the stage), this is done with a live orchestra in the theatre and special guests are also there to talk about the films.

   Imagine if something like that could be done with Zodi et Téhu! Watching it at the cinema is one thing but to hear the soundtrack live while the movie is playing and also have Mika there to discuss the music would be truly magical! :cloud:    

This has surely got to happen one day!

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11 hours ago, Kumazzz said:

PODCAST

France Musique

 

Mika, pop star sur les toiles

Mercredi 8 février 2023

 

Aux croisements entre pop et classique, concerts à Bercy ou à la Philharmonie, Mika casse les codes de la musique. En attendant son prochain album, il élargit encore ses horizons en signant sa première musique de film pour "Zodi et Téhu, frères du désert" d’Éric Barbier, en salles aujourd'hui.

Avec

Covid oblige, sa dernière tournée, le "Revelation Tour", avait été arrêtée en plein vol. Mais Mika avait décidé de ne pas la reprendre pour se consacrer à d'autres projets : concerts philharmoniques à l'Opéra Royal de Versailles puis à la Philharmonie de Paris, campagnes d'affiches pop à Paris contre la morosité pandémique et même carte blanche sur France Musique pour partager ses coups de cœur musicaux… En 2023, le chanteur franco-libanais explore encore une nouvelle manière de faire de la musique en signant la bande originale du film Zodi et Téhu, Frères du désert de Eric Barbier, en salles aujourd'hui.

 

 

This interview was so interesting! I wish I could have understood more of it.

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Musique matin

Mika : "Les streams décident de la valeur d'une musique" - Musique matin

Au micro de Jean-Baptiste Urbain, le chanteur et compositeur Mika est revenu sur l'importance des streams dans l'industrie musicale : "On se retrouve dans une situation critique où les numérique et les streams décident de la valeur d'une musique par rapport à une autre". Il était l'invité de Musique matin, à l'occasion de la sortie du film "Zodi et Téhu, frères du désert" d’Éric Barbier, pour lequel il a composé la musique.

Ecoutez l'interview de Mika sur France Musique : https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/l-invite-e-du-jour/mika-pop-star-sur-les-toiles-7009285

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AlloCiné

 

Zodi et Téhu, frères du désert

: les secrets du tournage

 

Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Zodi et Téhu, frères du désert" et de son tournage !

Genèse

C’est le producteur Farid Lahouassa, avec qui Eric Barbier a fait ses études de cinéma à l’IDHEC, qui a proposé au réalisateur cette histoire d’amitié entre un petit garçon et un dromadaire : "Et cette proposition est tombée formidablement bien, parce que je rêvais depuis longtemps de faire un film que les plus jeunes pourraient voir avec plaisir. Pour un réalisateur, faire un film destiné aux enfants, c’est un peu comme revenir à l’origine de son amour du cinéma. C’est être à nouveau impressionné par la solennité du moment où les lumières s’éteignent dans la salle. C’est redécouvrir sur grand écran la poésie et l’onirisme de paysages et de mondes inconnus, c’est retrouver la force des histoires qui nous plongent dans un univers où le rêve et la magie ont encore une place centrale." Après avoir vu des courses de dromadaires à Abu Dhabi aux Émirats Arabes Unis et lu un traitement écrit par Jennifer Devoldère, il a été définitivement conquis par le projet.

Des vraies familles de nomades

Pendant les repérages dans la région de Ouarzazate, l'équipe est tombée sur plusieurs familles de nomades qui vivaient dans le reg (le désert rocheux) et leur a demandé de participer au film. Le réalisateur raconte : "Ces familles amènent au film le réalisme de la vie des nomades berbères. Pendant les trois semaines de tournage dans la tribu, les familles dormaient et vivaient sur le décor. Quand on arrivait sur le tournage à l’aube, les familles étaient déjà debout, les enfants s’occupaient des bêtes dans le soleil levant. C’était magique..."

Caster le dromadaire

Le réalisateur voulait un dromadaire au pelage blanc pour qu'il se démarque facilement dans un troupeau et  soit identifiable par les enfants. Pour trouver "l'interprète" de Téhu, la production est partie dans le Sahara Occidental près de la ville de Dakhla rencontrer Monsieur Dlimi qui est un passionné de courses de dromadaires. Avec lui, elle a sillonné le désert près de la Mauritanie où se trouvent des milliers de dromadaires à moitié sauvages qui vivent en troupeaux sans barrières. Le réalisateur se souvient : "Après trois jours, nous avons repéré deux dromadaires blancs très beaux que nous avons ramenés dans un petit enclos. Une fois lavés et brossés, nous avons utilisé de la teinture noire pour faire la tache sur le côté de leurs têtes. Et là, devant nous, on a vu Téhu pour la première fois, un dromadaire avec un sacré caractère !"
 

Le petit garçon

Yassir Drief, l'interprète du petit garçon, a été remarqué dans une session de casting en Belgique, à laquelle il avait participé suite à une annonce. Il n'avait jamais tourné auparavant mais a su se montrer juste et émouvant durant ses essais. La principale interrogation qui demeurait était son comportement face à un animal. Le jeune comédien a alors fait des essais à Bruxelles avec des chevaux, qui se sont révélés concluants, puis s'est rendu à Marrakech où il a appris, durant quinze jours, à se familiariser avec Téhu.

Une BO de Mika

Le chanteur Mika signe avec Zodi et Téhu, frères du désert la première bande-originale de film de sa carrière. Le réalisateur revient sur leur collaboration : "Contrairement à ce que je fais en général, je ne lui ai donné aucune référence, j’évitais même de lui montrer des séquences soutenues par des thèmes tracks (des musiques références sur lesquelles travaille la monteuse du film). Quand on se parlait, on se disait simplement, là, il faut de la tension – là, c’est la rencontre magique - là, on doit avoir peur - là, la musique doit accentuer la vitesse de la course - là, il faut souligner la douleur de la séparation..." Au final, Mika a composé plus d'une heure de musique originale et interprète trois chansons, dont une en compagnie de l'artiste sud-africaine Nomfundo Moh. Un véritable accomplissement pour le chanteur : "j’en rêve depuis mes 11 ans ! J’ai commencé à composer et à chanter étant enfant mais à chaque fois que je voyais un film, sa musique restait ancrée dans ma mémoire... Cela avait beaucoup d’impact sur moi. D’ailleurs, depuis ce temps-là, je collectionne les B.O. et au fil des années, j’ai eu quelques opportunités de composer pour le cinéma mais ça ne s’était jamais fait..."
 

La préparation d'Alexandra Lamy

Afin de se préparer pour le film, Alexandra Lamy s'est rendue à Frontignan, près de Sète, à la rencontre de Coralie Le Meur qui pratique la course à dos de dromadaires et en élève dans sa ferme. L'actrice gardait un mauvais souvenir des dromadaires après les avoir côtoyés au Maroc sur le tournage d'Un gars, une fille : "Le dromadaire est très hautain, on ne sait jamais ce qu’il pense, ce qu’il peut faire mais ce que j’ai appris chez Coralie, c’est qu’il faut le laisser venir à vous. Il n’aime pas être touché, caressé à moins qu’il ne le demande ! Et puis on m’a montré comment faire des piqûres en attrapant et maîtrisant un dromadaire ou encore comment l’arrêter en mettant sa main en hauteur."
 
:uk: Google translator
Spoiler

 

Anecdotes, gossip, news, even unmentionable secrets around "Zodi and Téhu, brothers of the desert" and its filming!


Genesis

 

It was producer Farid Lahouassa, with whom  Eric Barbier studied cinema at IDHEC, who suggested this story of friendship between a little boy and a dromedary to the director: "And this proposal came on extremely well, because I had long dreamed of making a film that the youngest could see with pleasure. For a director, making a film for children is a bit like going back to the origin of his love of cinema. to be impressed again by the solemnity of the moment when the lights go out in the room. It is to rediscover on the big screen the poetry and dreamlikeness of landscapes and unknown worlds, it is to rediscover the strength of the stories that immerse us in a universe where dreams and magic still have a central place." After seeing camel races in Abu Dhabi in the United Arab Emirates and reading a treatment written by Jennifer Devoldère, she was definitely won over by the project.

 

Real nomadic families

 

During location scouting in the Ouarzazate area, the team came across several nomadic families who lived in the reg (the rocky desert) and asked them to participate in the film. The director says: "These families bring to the film the realism of the life of the Berber nomads. During the three weeks of filming in the tribe, the families slept and lived on the set. When we arrived on the set at dawn, the families were already up, the children were taking care of the animals in the rising sun. It was magical..."

 

Cast the dromedary

 

The director wanted a dromedary with a white coat so that it would stand out easily in a herd and be identifiable by children. To find the "interpreter" of Téhu, the production went to Western Sahara near the city of Dakhla to meet Mr. Dlimi who is a camel racing enthusiast. With him, she criss-crossed the desert near Mauritania where there are thousands of half-wild dromedaries that live in herds without barriers. The director recalls: "After three days, we spotted two very beautiful white dromedaries which we brought back to a small enclosure. Once washed and brushed, we used black dye to make the stain on the side of their heads. And there, in front of us, we saw Tehu for the first time, a dromedary with a lot of character!"

 

The little boy


Yassir Drief, the interpreter of the little boy, was noticed in a casting session in Belgium, in which he had participated following an announcement. He had never filmed before but knew how to be fair and moving during his tests. The main question that remained was his behavior in front of an animal. The young actor then did some tests in Brussels with horses, which proved conclusive, then went to Marrakech where he learned, for two weeks, to familiarize himself with Tehu.


A soundtrack by Mika


The singer Mika signs with Zodi and Téhu, brothers of the desert the first soundtrack of film of his career. The director talks about their collaboration: "Contrary to what I usually do, I didn't give him any references, I even avoided showing him sequences supported by track themes (reference music on which the film's editor works When we spoke to each other, we simply said to each other, there, we need tension – there, it's the magical encounter - there, we must be afraid - there, the music must accentuate the speed of the race - there, we must emphasize the pain of separation..." In the end, Mika composed more than an hour of original music and performed three songs, including one with the South African artist Nomfundo Moh. A real accomplishment for the singer: "I've been dreaming about it since I was 11! I started composing and singing as a child but every time I saw a film, its music remained anchored in my memory... It had a lot of impact on me. Besides, since that time, I've been collecting soundtracks and over the years, I've had a few opportunities to compose for the cinema but it never happened..."


The preparation of Alexandra Lamy


In order to prepare for the film, Alexandra Lamy went to Frontignan, near Sète, to meet Coralie Le Meur who races camels and raises them on her farm. The actress had bad memories of dromedaries after having rubbed shoulders with them in Morocco on the set of 'Un gars, une fille: "The dromedary is very haughty, you never know what he thinks, what he can do but what I learned from Coralie is that you have to let him come to you. He doesn't like to be touched or caressed unless he asks! And then I was shown how to make bites by catching and controlling a dromedary or how to stop it by putting your hand up.

 

 

 

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Journal LE SOIR Edition BRUXELLES du 08 Février 2023

Yassir Drief :« Un dromadaire, c’est vraiment têtu »

 

Le jeune nomade de cette touchante histoire d’amitié avec un bébé dromadaire signée Eric Barbier s’appelle Yassir Drief et il est belge.

 

Y assir Drief est belge. Il vit à Vilvorde avec sa famille d’origine marocaine.

En avril, il aura 13 ans. Plus tard, il serait bien acteur comme Omar Sy, Tom Holland ou son idole Dwayne Johnson, avec l’objectif de conquérir Hollywood, ou bien il sera dentiste. C’est encore à décider.

Là, il est en passe de devenir la star de son école car il tient le rôle principal du film familial Zodi et Téhu, frères du désert, du Français Eric Barbier, aux côtés d’Alexandra Lamy. Dans la foulée, le 15 février, il sera aussi à l’affiche d’une comédie de Booder et Gaelle Falzerana, Le grand cirque, sur les clowns dans les hôpitaux pour les enfants malades. Ses grands yeux noirs pétillent de bonheur quand il nous raconte comment sa vie d’écolier a un jour basculé dans le cinéma.

Tout a commencé à la sortie de l’école quand une directrice de casting lui tend un dépliant pour le casting du film. Aujourd’hui, il a un agent à Paris. Avant, il n’avait jamais pensé au cinéma comme ça.

 

« J’ai demandé à mes parents. J’en avais très envie, je ne sais pas pourquoi. Ils ont beaucoup réfléchi car je n’avais aucune expérience. J’ai fait des essais.

A la fin, on restait deux enfants et pour la dernière épreuve, on a dû montrer si on était à l’aise avec le dromadaire. Une semaine plus tard, ma mère m’a annoncé que j’étais pris. J’étais super content, je criais dans tous les sens. Et on l’a annoncé à la famille. »

 

Avec son coach, Salim, l’enfant a appris son texte. De son personnage, il dit : « J’aime son courage et sa ténacité. Il veut aider sa tribu et moi aussi, j’aide ma famille. Zodi me ressemble, sauf qu’il déteste aller à l’école et moi j’adore ! »

 

L’exigence principale d’Eric Barbier était qu’il soit naturel.

« Je faisais comme s’il n’y avait pas de caméra et que c’était ma vie réelle. Ce qui est difficile, c’est de pleurer. Par contre, c’est facile d’être content. »

Si son aisance complice avec le dromadaire est épatante, c’est aussi le fruit d’un travail.

« Une quinzaine de jours avant le tournage, je me suis entraîné avec le dromadaire. Des chameliers étaient là pour m’aider, pour m’apprendre à l’approcher, lui parler, le monter. J’ai eu une vraie relation avec Téhu. Chaque fois qu’on se voyait, on se faisait des bisous, des câlins. On a passé trois mois ensemble. Le dernier jour de tournage, j’étais triste de le quitter. »

Yassir avoue qu’il avait des petits morceaux de carotte pour convaincre Téhu à le suivre.

 

« Un dromadaire, c’est vraiment têtu. Ce n’est pas toi qui décides, c’est lui. »

Yassir Drief a fait ami avec tous les techniciens du film.

S’il connaissait la région d’Errachidia au Maroc, proche des lieux de tournage d’Erfoud et Merzouga, il a découvert Ouarzazate, Casablanca, le désert, le sable, le ciel étoilé, Abu Dhabi et Alexandra Lamy.

 

« J’ai rencontré des gens exceptionnels. Alexandra Lamy m’a appris à bien respirer avant de tourner. » Comme bien des garçons de son âge, Yassir Drief aime les films d’action, adore les Marvel, regarde Netflix et aime le pop-corn quand il va au cinéma. Il rêve de faire d’autres castings.

 

Suit-il des cours de théâtre ?

« Non, avec l’école, c’est difficile car j’ai aussi une autre passion, le basket, que je pratique depuis sept ans. » On a oublié de lui demander s’il se rêvait aussi en Tony Parker ou Michael Jordan.

 

:uk: Google translator

Spoiler

 

Yassir Drief: "A dromedary is really stubborn"


The young nomad in this touching story of friendship with a baby camel by Eric Barbier is called Yassir Drief and he is Belgian.


Yassir Drief is Belgian. He lives in Vil vorde with his family of ma rocaine origin.

In April, he will be 13 years old. Later, he would be an actor like Omar Sy, Tom Holland or his idol Dwayne Johnson, with the aim of conquering Hollywood, or he would be a dentist. It is yet to be decided.

There, he is on the way to becoming the star of his school because he plays the main role of the family film Zodi and Téhu, brothers of the desert, by the Frenchman Eric Barbier, alongside Alexandra Lamy. In the process, on February 15, he will also appear in a comedy by Booder and Gaelle Falzerana, Le grand cirque, about clowns in hospitals for sick children. His big black eyes sparkle with happiness when he tells us how his life as a schoolboy one day turned to cinema.

It all started right out of school when a casting director hands him a flyer for the film's ting case. Today, he has an agent in Paris. Before, he had never thought of cinema like that.


“I asked my parents. I really wanted to, I don't know why. They thought a lot because I had no experience. I did some tests.

At the end, we were left with two children and for the last test, we had to show if we were comfortable with the dromedary. A week later, my mother told me that I was taken. I was super happy, I was screaming in all directions. And we told the family. »


With his coach, Salim, the child learned his text. Of his character, he says: “I like his courage and his tenacity. He wants to help his tribe and I also help my family. Zodi looks like me, except he hates going to school and I love it! »


Eric Barbier's main requirement was that he be natural.

"I act like there's no camera and it's my real life. What's hard is crying. On the other hand, it is easy to be happy. »

If his complicit ease with the dromedary is amazing, it is also the fruit of hard work.

“A fortnight before the shooting, I trained with the camel. Camel drivers were there to help me, to teach me how to approach him, talk to him, ride him. I had a real relationship with Téhu. Every time we saw each other, we gave each other kisses and hugs. We spent three months together. On the last day of shooting, I was sad to leave him. »

Yassir admits that he had small pieces of ca rotte to convince Tehu to follow him.


“A dromedary is really stubborn. It's not you who decides, it's him. »

Yassir Drief made friends with all the film technicians.

If he knew the region of Errachidia in Morocco, close to the filming locations of Erfoud and Mer zouga, he discovered Ouarzazate, Casa blanca, the desert, the sand, the starry sky, Abu Dhabi and Alexandra Lamy.


“I met some exceptional people. Alexandra Lamy taught me to breathe well before filming. Like many boys his age, Yassir Drief loves action movies, loves Marvel, watches Netflix and enjoys popcorn when he goes to the movies. He dreams of doing other castings.


Does he take acting classes?

"No, with school, it's difficult because I also have another passion, basketball, which I've been playing for seven years. “We forgot to ask him if he also dreamed of Tony Par ker or Michael Jordan.

 

 

JournalLESOIREditionBRUXELLESdu08Fvrier2023-38.thumb.jpg.52f12d1e10cae44c18c10195a2ab3f29.jpg

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Sortir a Paris

https://www.sortiraparis.com/loisirs/cinema/articles/288975-alexandra-lamy-je-me-suis-dit-bon-c-est-hyper-couillu-de-faire-ca-en-film

Alexandra Lamy : Je me suis dit "Bon, c'est hyper couillu de faire ça en film"

 

Par Julie M. · Publié le 8 février 2023 à 12h11
 
Eric Barbier, Alexandra Lamy et le jeune Yassir Drief nous parlent de leur participation au très ambitieux et magnifique film familial "Zodi et Téhu, frères du désert" à découvrir au cinéma dès ce mercredi 8 février 2023.

 

 

Alexandra Lamy, Eric Barbier et Yassir Drief - Zodi et Tehu | Sortiraparis

 

 

Comment avez-vous développé la relation entre les personnages de Zodi, Téhu et Julia dans le film, et comment cette relation a-t-elle évolué au cours de l'histoire ?

 

Eric Barbier : C'est une relation qui était déjà construite dans le scénario, je dirais le scénario, la construction de l'histoire, c'était déjà les rapports, l'histoire de cette aventure, de cet enfant berbère qui va traverser, en fait, tout, des pays et beaucoup d'aventures pour arriver jusqu'à Abou Dhabi et qui pourront trouver une personne qui l'a aidé, qui est joué par Alexandra, qui a un vétérinaire dans une clinique de dromadaire spécialisé, ce qui existe, ce qui est vrai. Donc ça veut dire, je dirais, les rapports entre Zodi, le docteur Sadoul, puisque c'est le nom du personnage, et le dromadaire, en fait, c'était déjà inscrit, c'était un peu le noyau, la structure du film. Donc ensuite, ce qui s'est passé, et ce n'est vrai que ça, c'est une chose, je dirais, c'est la magie des films. Ça veut dire qu'après il y a une rencontre, il y a Alexandra qui rencontre Yassir, Yassir qui rencontre Alexandra Yassir, qui travaille avec des dromadaires donc qui ne connaissaient pas forcément ces animaux. Alexandra Pareil. Donc après les choses évoluent aussi en fonction des situations qu'Alexandra et Yassir vont jouer et donc les situations vont va évidemment faire évoluer les choses, faire bouger le film, surtout un film pour avec des animaux. C'est un film où les acteurs, c'est compliqué pour eux parce qu'un animal ce n'est pas, on ne lui dit pas... Donc ils sont obligés tout le temps d'improviser, on leur dit tout le temps improvise, refais ça, va là. Donc il y a une espèce de spontanéité où les acteurs doivent réagir avec l'animal, se construire même quand ils jouent à deux, qui fait que c'est assez compliqué. Donc on est, tout le monde est tout le temps un petit peu... Ce sont des films où tout le monde est toujours un peu sur le pont et prêt à toujours tourner. En fait, ce n'est pas des choses qui sont très installées, c'est des choses qui sont doivent être très souples. Et donc là-dessus, j'ai été vraiment beaucoup aidé par Alexandra et Yassir

 

Plus de place à l'improvisation, je pense comme ça.

 

E. B. : Oui oui, certaines scènes, oui beaucoup oui

 

Et sur l'histoire, c'est une histoire qui existait qui.

 

E. B. : Non, en fait, l'histoire est venue du producteur qui m'a montré des documentaires sur les courses de dromadaires qui sont des courses à Abou Dhabi où les dromadaires sont montés par des robots et où les robots, où il y a des cravaches qui sont dirigées par des télécommandes et où les entraîneurs peuvent parler aux dromadaires avec des talkie-walkies, donc c'est un truc un peu particulier, c'est des camélodromes spéciaux, c'est des choses qui sont faites pour ces courses-là, spécifiquement.

 

Avec des dromadaires entraînés spécialement

 

E. B. : Avec des dromadaires qui sont des grands coureurs, qui sont des coureurs aussi célèbres que les chevaux qui vont courir à l'Arc de Triomphe, qui valent des fortunes. Donc ça veut dire que c'est vraiment particulier. C'est un monde qu'on ne connaît pas du tout. Et donc du coup, c'est vrai que rentrer dans cette histoire par ce biais-là, je pense que... Moi, j'avais très envie de faire un film pour enfants par exemple parce que je trouvais que c'est intéressant, ce sont d'autres codes, c'est sur le méchant, le gentil, les alliés,... Mais il fallait trouver un sujet qui est très original. Le film m'a permis ça. Voilà

 

Alexandra Lamy : Un film pour enfants, et si je me permets pour toute une famille ? Parce que même les grands, c'est justement... Oui, parce que c'est vrai, ce n'est pas quel film pour enfants. Je veux dire, on peut y aller juste avec des adultes parce que c'est quand même un film d'aventures, il y a plein de choses là-dedans. Ce n'est pas juste une histoire de course de dromadaires. Il y a ça parce que d'abord, les images sont magnifiques, et puis il y a quand même cette course aussi, mais il y a tout ce que ça raconte aussi à côté, il y a les paysages, enfin, c'est vraiment. Et en plus, je trouve que c'est vraiment un film à aller voir au cinéma. Parce que pour le coup, quand on pense qu'un film comme ça au cinéma, il a vraiment sa place parce qu'il y a des paysages. Déjà, même les paysages voir même la lumière qui est presque un personnage, j'allais dire, c'est très beau. Donc oui, mais c'est super parce que ce sont des films justement familiaux. On peut y aller avec eux ses enfants, mais même les adultes peuvent y aller tout seul, hein, c'est chouette aussi.

 

E. B. : Mais en plus, l'histoire, c'est vraiment l'histoire d'un apprentissage, c'est l'histoire d'un enfant qui part. Et en fait, si on peut dire, c'est vraiment, un enfant qui grandit et comme disait Alexandra, en fait, il traverse plusieurs mondes, il traverse plusieurs étapes et en fait chaque étape, c'est vrai que c'est des aventures, c'est un film d'aventures, donc il y a plein de décors et c'est vrai que les décors, l'univers dans lequel se déroule le film, c'est assez magique.

 

C'est un enfant qui ne trouve pas forcément sa place dans sa communauté au départ.

 

E. B. : Oui, parce qu'il y a un peu particulier. C'est Yassir qui va le dire, il est particulier. Pourquoi il est particulier ? Non mais c'est vrai que c'est un enfant qui va à l'école parce que c'est le seul de sa tribu. Donc, du coup, c'est vrai qu'il y a ce rapport-là, mais ça, c'est un peu à toi d'en parler, Yassir, un peu tes rapports avec tes copains et tout ça, tu vois. 

 

Yassir Drief : Par exemple. Oui, j'aime bien Zodi déjà d'un parce qu'il me ressemble beaucoup, parce qu'il est courageux comme moi. Mais il y a un truc qui ne me ressemble pas trop, c'est qu'il déteste aller à l'école. Mais moi, j'adore y aller à l'école, j'adore. Donc oui, et comme Alexandra et Eric ont dit aller voir le film au cinéma parce que ben ça, c'est vraiment chouette et vous allez vraiment bien aimer. Il y a des beaux paysages et il y a beaucoup, y a plein de trucs, il y a la course, il y a l'émotion, il y a plein de trucs. Donc oui, c'est vraiment chouette.

 

Ça t'a plu de te tourner dans ce film ?

 

Y. D. : Oui.

 

C'était ton premier film ?

 

Y. D. : Oui, et j'ai adoré vraiment. J'avais des bons souvenirs. Par exemple, j'ai appris à rouler avec la mobylette. Oui, je voulais faire ça pendant toute la journée parce que j'aimais tellement. Mais je ne pouvais pas. Parce qu'il fallait faire des autres scènes. Le dromadaire, il était vraiment gentil. Au début, j'avais un peu peur, mais après, s'il est devenu mon meilleur ami à chaque fois, quand je le voyais, on faisait des câlins, des bisous. Et quand c'était le dernier jour, et ben j'étais un peu triste et lui aussi. Donc, ouais, voilà.

 

A. L. : D'ailleurs, pour rebondir, je trouve que c'est génial parce que comme c'est son premier film déjà, c'est super parce que t'es quand même dans un environnement un peu dingue aussi d'avoir une histoire comme ça. C'est rare d'avoir une histoire comme ça. Et comme, tout à l'heure, tu me disais que tu étais allé voir le film, je veux dire de se retrouver pour un premier film dans un film comme ça, d'aventure. Enfin cette amitié avec cet animal qui en vrai, on n'irait jamais imaginer une histoire avec un dromadaire, c'est quand même... Enfin, je veux dire pour toi, enfin tout à l'heure quand tu disais : "Quand j'ai vu le film, je disais..." Mais ouais, c'est génial pour un premier film d'avoir un film comme ça !

 

E. B. : En plus, c'est vrai que c'est un film où il y a plein d'aventures. Il rentre dans une tempête, donc il a vécu une tempête de sable. On en a fait une partie, tout n'est pas tout en direct, mais il y a beaucoup d'effets en direct, donc il a vécu une tempête de sable, après il marche sur un lac salé qui manque de s'effondrer. Après, il doit s'évader d'un aéroport donc ça veut dire qu'il y a quantité... Après, il y a les courses puisqu'il fait des courses pour arriver à gagner un peu d'argent pour partir. Donc ça veut dire que tous ces éléments-là, c'était vraiment pour Yassir, le personnage traverse tellement de situations vraiment exceptionnelles. C'est vraiment un film d'aventures quoi. Donc c'était très agréable.

 

Et la musique aussi qui a été réalisée par Mika et qui apporte énormément au paysage.

 

E. B. : Alors ça, ça oui. Sur un film qu'on appelle un film "famille", puisque tu ne veux pas dire pour enfant, un film pour les familles, c'est-à-dire qu'on se rend compte sur la majorité des films qui ont été faits pour les enfants, en fait, que la musique, c'est une part énorme. Quand je dis, c'est une part énorme, c'est en volume, c'est 60 % en moyenne, et puis, en termes de, je dirais, de vecteur de l'émotion. Je ne parle pas que l'émotion, la tristesse ou quoi. Je parle aussi l'énergie, la force, la joie, les musiques sont toujours très importantes dans les films pour enfants. Et c'est vrai que Mika, il y avait une chose qui était vraiment très intéressante dans l'idée travailler avec lui. D'abord, c'était sa première musique, il n'avait jamais fait ça. Il a fait une vraie musique de film. C'est un vrai score, ce n'est pas juste des chansons de Mika. C'est vraiment un score, c'est un score où il y a des moments où il y a de la tension, où on a peur, où il faut qu'il y ait du danger. Donc il a vraiment scoré le film. Et même s'il y a, il y a deux titres qui sont très Mika quoi. Et c'est vrai qu'aussi, il a amené sur le film, une couleur, qui est une couleur qui est un peu différente, je dirais, de quand on prend des gens qui sont spécialisés dans la musique du film ou qui sur ce type de films peuvent trouver un, je dirais un schéma musical qui est plus classique. Et c'est vrai que Mika, il amène une originalité dans la musique qui est vraiment très forte.

 

Et quels ont été les défis les plus importants que vous avez rencontrés lors du tournage ? Les dromadaires ? Je pense que c'était déjà un défi.

 

E. B. : Non, mais ça veut dire en fait les défis. Je reviens un peu aux acteurs, mais c'est vrai que je pense pour Yassir et Alexandra, c'était difficile. Ça veut dire que c'est difficile. Par exemple, on parle souvent de la scène, la première scène d'Alexandra qui se retrouve au milieu de 30 dromadaires, puis c'est des costauds les dromadaires parce que bon, on est à Paris, ça va, mais quand on est là-bas, au milieu des dromadaires, on se retrouve avec des bestioles immenses. Et la première scène qu'elle doit jouer, c'est en fait franchement, je me disais, mais... On s'était vu à Paris avec Alexandra, on avait fait un peu des trucs, des machins, mais quand elle est arrivée là-bas, c'était à Ouarzazate et que je me suis dit putain "Mais demain elle va se retrouver là-bas." Je savais où elle allait se retrouver. Je me suis dit, mais peut-être qu'elle va me dire "Oh non mais Eric là, ça ne va pas !". Non mais en plus, ce que je ne savais pas, ce qu'elle avait vu des trucs. C'est ça que je ne savais pas, moi !

 

A. L. : Oui, oui, je m'étais quand même rapprochée des dromadaires, si on peut parler comme ça... Non, je veux dire, je m'étais renseignée avant de partir quand même, parce que c'est quand même un animal qui peut même faire peur. Enfin, je veux dire, c'est quand même un animal qui fait 2,5 mètres, donc on se dit bon et puis on sait pas trop en plus ce qu'il peut penser, on ne sait pas si ça va mordre. Et ce qui est génial, c'est qu'en plus Eric, juste avant que je tourne, il me montre une vidéo absolument atroce. Donc juste avant que je me trouve face à 20 dromadaires, il m'a dit, tu sais, parfois les dromadaires faut se méfier - il ne t'a pas fait ça toi ? Heureusement. - et il me dit "Regarde, je vais te montrer un truc" et là, il me montre un mec avec un dromadaire. Je ne sais pas ce qu'il fait aux dromadaires, ça doit l'énerver et le dromadaire le prend par la tête comme ça dans la gueule et le jette. Et il me dit "T'as vu, c'est rigolo hein, mais quand même, il faut faire gaffe ! Allez, on y va ?", j'me dis "Mais il est fou ! Pourquoi il m'a montré ça ? Mais c'est atroce." Du coup, ça me faisait rire, je me suis dit "Oh là là".

 

E. B. : Non mais c'est une très bonne vidéo.

 

A. L. : Très drôle

 

C'est vrai que cette scène où elle ausculte le dromadaire, il y a un geste technique quand même. 

 

A. L. : Ah ben oui, oui bien sûr, j'ai vu les vétérinaires avant. J'ai vu une jeune fille qui s'appelle Coralie, a Sète qui a des dromadaires et qui, c'est vrai, m'a transmis un peu sa passion et son amour pour ces animaux parce que c'est vrai que bon, on n'y penserait pas hein, ce n'est pas un animal où on se dit "Tiens, j'aimerais bien un petit dromadaire chez moi" personne ne pense ça. 

 

E. B. : Maintenant oui, 

 

A. L. : maintenant, tous les enfants vont vouloir des dromadaires. 

 

E. B. : Elle a un dromadaire.

 

Bah, Julia en avait un enfant en Australie.

 

A. L. : Ah, ben là, je le dis tout de suite hein, les parents, excusez nous, parce que là, ça va être une catastrophe, c'est fini le petit chat, ça va être des dromadaires maintenant ! C'est une catastrophe, c'est beaucoup plus gros. Mais pour revenir à ce que vous disiez. Moi, je trouve qu'il y a un challenge, c'est que moi, quand je l'ai lu, je me suis dit "Wow d'en faire un film" parce que ça pourrait presque, on pourrait l'imaginer en dessin animé, ça serait presque plus simple entre guillemets, parce que c'est quand même un animal, c'est quand même un enfant. Une amitié, c'est, je veux dire les courses, et cetera. Je me suis dit "Bon, c'est hyper couillu de faire ça en film" parce que ce n'est pas facile de le faire, de le mettre en images, ça quand même, c'est couillu, j'allais dire. Non mais c'est vrai, et ça marche hyper bien parce que même jusqu'au bout, enfin, même si j'ai vu quelques images, mais très peu comme ça, quand j'ai vu le film, je dis "Waw, c'est hyper fort" et c'est même encore plus fort parce que ce n'est pas un dessin animé, ça a exactement la tendresse, l'émotion, l'aventure qu'on pourrait retrouver presque dans un dessin animé avec un enfant, avec un animal. Et là, on l'a en vrai, donc ça donne ça même quelque chose de plus fort, je trouve.

 

E. B. : Et c'est ça qui était difficile aussi par rapport à ce que vous disiez, c'est-à-dire que le rapport entre Yassir et le dromadaire, ça veut dire de construire ce que dit Alexandra. Dans les dessins animés, les choses se font un peu naturellement, enfin se construisent, se dessine. Et là, c'est vrai que dans le rapport physique avec l'animal, d'arriver à construire une relation où ils sont amis, où le dromadaire l'écoute, où le dromadaire lui répond, c'était vraiment... Ça, c'était vraiment le pari du film, c'est-à-dire de faire que cette relation entre un enfant et cet animal qui est assez méconnu, et c'est vrai qu'il y a un peu bizarre puisqu'on a une image un peu, on dit : "c'est un chameau". Quand on dit de quelqu'un qu'il n'est pas très sympathique, on dit : "c'est un chameau", donc il y a, il a cette image un peu dure, mais en fait de construire ce lien, c'était tout le pari du film et je pense que ça a été vraiment formidable. Et ce qu'a fait Yassir avec les animaux, ça a été vraiment un travail super.

 

Et oui, les différences de décors aussi entre le désert, son peuple, son village et puis les Qatar avec beaucoup de chameau. Oui, c'est quelque chose. Il y a une vraie épopée, une vraie ascension d'un film.

 

E. B. : C'est ça, le sujet du film, c'était aussi d'aller vers quelque chose qui est les Berbères, donc ce sont des peuples berbères. D'ailleurs, on a travaillé avec des vraies tribus parce qu'au début du film, on a regroupé des tribus de nomades qui habitent dans le Reg à côté de Ouarzazate et on les a regroupés pour faire le village, donc on avait des gens qui avaient l'habitude de vivre dehors, qui d'ailleurs dormaient sur le décor, c'étaient leurs tentes et tout ça. Et en fait, Alexandra et Yassir se sont incrustés, si je puis dire, chez les nomades. Donc ça veut dire que Yassir, il avait la tente avec sa mère, mais autour d'eux, il n'y avait que des gens qui étaient des nomades qui le matin, quand on arrivait à 4 h pour tourner, ils se réveillaient, ils allaient s'occuper des animaux, ils faisaient leur vie, nettoyer... Donc tous les plans que vous voyez au début du film, quand ils nettoient la tente et tout ça, c'était des plans que j'ai filmé de leur réveil. Donc c'était d'intégrer aussi une certaine histoire qu'on connaît assez peu. Les Berbères nomades, on les connaît peu, il y en a très peu en plus, donc d'avoir regroupé et on a fait le mouvement dramatique du film, c'était d'aller vers quelque chose comme ça, d'assez traditionnel j'aime pas le mot, mais des gens qui vivent de manière assez austère et d'aller vers les pays du Golfe, donc notamment Dubaï et tout ça, qui sont des pays où là c'est l'inverse, c'est le luxe, les immeubles démesurés, les camelodromes démesuré, lui qui dans le film court en montant son dromadaire. En fait, là-bas, il y a un robot qui va monter son dromadaire, il rentre dans un autre monde, le monde de la technologie, c'était aussi d'aller d'un truc très traditionnel, vers la technologie, vers la modernité. C'était aussi le mouvement du film.

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TICKET GIVEAWAY on IG megarama_maroc, for those who live in Morocco! 

 

Registration ends this Friday, February 10 at midnight!

GOOD LUCK! :hi5:

 

https://www.instagram.com/p/CocZTMZtOQe/?igshid=YmMyMTA2M2Y=

 

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#megarama #maroc #Marrakech #zodi

Edited by Happymika_by_celine
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Twitter

 
Le film familial des vacances !
Ne manquez pas #ZodiEtTéhuFrèresDuDésert, actuellement au cinéma !
Réservez vite votre séance : https://zodiettehu-lefilm.com !

instagram

https://www.instagram.com/p/CoczkSVqmYU/

 

 

"Moi c'était un rêve,

je voulais toujours faire la musique de film."

 

"For me it was a dream,
I always wanted to do film music."

 

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INSTAGRAM

Judith Kiapp ( Clarinet player )

 

https://www.instagram.com/p/CodZNgMI9tH/

MIKAThe Boy and the Camel in the Night

 

Ouiii il est sorti !! Avec la sublime musique de MIKA 💕 @marielaforge et toutes ses flûtes et moi même à la clarinette 🎶

Merci à toute l’équipe son 🙏

 

 

 

 

https://www.instagram.com/p/Coeq8Gwg49R/

La Seine Musicale

💕🙏😍🌄🌈🎶💫🌿🌸

🐪 « Zodi et Téhu » 🐪 en salle au cinéma 📹

@mikainstagram

J’ai pas les mots... c’était magique!!! 🤍 Merci🙏

 

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mikainstagram story on 10 February 2023

 

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Apple Music Playlist

https://music.apple.com/us/playlist/new-in-film-tv-stage/pl.51a3d279b72b41f3a843bb41336de03b

 

AppleMusic.thumb.jpg.45e79af749b40d2ec032c0beceb40a96.jpg

 

Including

Bande originale du film Zodi et Téhu, frères du désert

https://music.apple.com/us/album/bande-originale-du-film-zodi-et-téhu-frères-du-désert/1668840883

  • Feels Like Fire
  • No Time To Leave

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Edited by Kumazzz
typo
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https://www.instagram.com/p/CoiM_LXAm28/

 

 

Tehu et Zodi frères du désert.
Le réel plaisir d’interprétation.
Merci au public Marrakchi d’être venu partager notre belle aventure.
#zodiettéhufrèresdudésert
#megaramamarrakech
#marrakech

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On 2/10/2023 at 7:47 AM, Happymika_by_celine said:

FRANCE INTER

Interview Mika & Éric Barbier - France Inter - Côté Club - February, 9th.

 

 

 

Thanks a lot @Happymika_by_celine

 

I did a long version edition.

 

Côté Club

  • Jeudi 9 février 2023

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/cote-club/cote-club-du-jeudi-09-fevrier-2023-9428694

 

Mika et Eric Barbier

Film : Zodi et Téhu, frères du désert

7ème réalisation pour Eric Barbier depuis Le brasier en 1991. On lui doit notamment Petit pays, adaptation du livre  de Gael Faye, Les promesses de l'aube ou encore Le serpent.

 

L'artiste international Mika signe la bande originale du film.  La partition orchestrale soutient la traversée du Sahara du jeune nomade Zodi avec son lyrisme, en utilisant des éléments percussifs, une flûte et des chants orientaux pour représenter le folklore africain. Il interprète également les titres originaux "Feels Like Fire" et "No Time to Leave". Nouvelle bande originale pour Mika qui avait déjà signé la musique de : Clark  (Jonas Åkerlund, 2022), Someone you love  (Pernille Fischer Christensen, 2015), Going my home  (Hirokazu Kore-eda, 2012).

 

:uk:

Mika and Eric Barbier

Film: Zodi and Tehu, brothers of the desert

7th achievement for Eric Barbier since Le brasier in 1991. We owe him in particular Petit pays, adaptation of Gael Faye's book, Les promises de l'aube or Le serpent.

 

International artist Mika signs the film's soundtrack. The orchestral score supports the young nomad Zodi's crossing of the Sahara with its lyricism, using percussive elements, a flute and oriental songs to represent African folklore. He also performs the original titles "Feels Like Fire" and "No Time to Leave". New soundtrack for Mika who had already signed the music for : Clark  (Jonas Åkerlund, 2022), Someone you love  (Pernille Fischer Christensen, 2015), Going my home  (Hirokazu Kore-eda, 2012).

 

 

 

Tim Dup, Mika, Eric Barbier Et Christian Marclay ©Radio France - Alexis Goyer

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Edited by Kumazzz
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YOMIKA

https://www.yomika.com/2023/02/11/feels-like-fire-lyric-video/

 

Lyric Video

Published February 11, 2023

 

 

I’m so happy to see so many of you enjoying the new soundtrack and streaming ‘Feels Like Fire’ featuring South African singer Nomfundo Moh. What a voice! As you are enjoying the track so decided to put together a beautiful new lyric video which will be coming your way next week!

 

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https://www.instagram.com/p/CokNE1hIThq/

 

 

 

Dans un sourire nostalgique, Alexandra Lamy et Mika se remémorent leurs premiers souvenirs du septième art. Des instants précieux, indissociables de la mémoire de leur grand-mère. 

 

Mika confie être "transporté" dans ses bons souvenirs avec cette grand-mère qui avait l'air si drôle et élégante. Son regard, lorsqu'il se revoit 

 

🍿Alexandra Lamy incarne une vétérinaire qui aide un enfant à réaliser son rêve, dans le film d'aventures familial "Zodi & Téhu, frères du désert" d'Éric Barbier, actuellement en salles. Mika, lui, en a composé sa bande originale.

 

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5 minutes ago, Mikasister said:

https://www.instagram.com/p/CokNE1hIThq/

 

 

 

Dans un sourire nostalgique, Alexandra Lamy et Mika se remémorent leurs premiers souvenirs du septième art. Des instants précieux, indissociables de la mémoire de leur grand-mère. 

 

Mika confie être "transporté" dans ses bons souvenirs avec cette grand-mère qui avait l'air si drôle et élégante. Son regard, lorsqu'il se revoit 

 

🍿Alexandra Lamy incarne une vétérinaire qui aide un enfant à réaliser son rêve, dans le film d'aventures familial "Zodi & Téhu, frères du désert" d'Éric Barbier, actuellement en salles. Mika, lui, en a composé sa bande originale.

 


Mika’s grandmum beat the system :lol3:

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25 minutes ago, holdingyourdrink said:


Mika’s grandmum beat the system :lol3:

 

Didn't everyone do that at some point? :naughty: I never watched 4 movies in a row, a bit too much... but 2 for the price of one, why not. :teehee: I was older though, it was a friend's idea, my Mum (or grandma) wasn't that mischieveous. :naughty: And I only did it once or twice, was too scared to get caught. 😅

 

My cinema memories are rather nice ones, my Mum took me to the cinema every year on the afternoon of Christmas Eve to see the current Disney movie, so waiting for the presents would be easier. So for a long time Cinema was connected to Christmas for me. 😊

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5 hours ago, mellody said:

Didn't everyone do that at some point? :naughty: I never watched 4 movies in a row, a bit too much... but 2 for the price of one, why not. :teehee: I was older though, it was a friend's idea, my Mum (or grandma) wasn't that mischieveous. :naughty: And I only did it once or twice, was too scared to get caught. 😅

 

My friend and I had this cinema subscription where you would pay 20 euros a month, but could watch as many movies (not the 3D ones, that had a surplus of a few euros per movie) as we wanted. So yes, I actually did watch 4 movies in a row once legally, because I am too much of a goody two shoes and also way too scared to get caught like yourself :lol3:

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3 hours ago, Hero said:

That was so adorable, watching his face as the happy memory came back. :wub2:

 

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Too cute! 😍

 

Nope. I missed out, obviously! 

 

Yes, it was adorable! I was watching the video and noticed him remembering something. When my kids do this they excitedly jump up and down and can't wait to tell me. I could actually tell he was refraining from doing so :lol3: but he couldn't wait to tell the story, either!

Edited by holdingyourdrink
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6 hours ago, Mikasister said:

https://www.instagram.com/p/CokNE1hIThq/

 

 

 

Dans un sourire nostalgique, Alexandra Lamy et Mika se remémorent leurs premiers souvenirs du septième art. Des instants précieux, indissociables de la mémoire de leur grand-mère. 

 

Mika confie être "transporté" dans ses bons souvenirs avec cette grand-mère qui avait l'air si drôle et élégante. Son regard, lorsqu'il se revoit 

 

🍿Alexandra Lamy incarne une vétérinaire qui aide un enfant à réaliser son rêve, dans le film d'aventures familial "Zodi & Téhu, frères du désert" d'Éric Barbier, actuellement en salles. Mika, lui, en a composé sa bande originale.

 

 

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https://www.instagram.com/p/CokNE1hIThq/

 

 

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