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Mika in French Press and Other Media - 2023


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15 hours ago, Mikasister said:

https://www.instagram.com/p/C0KBp5csizO/

baqcanal

 

Quand on pense à tous nos héros d'avant, hommes, femmes, peu importe, on ne pense pas à des marques, on pense à toutes les histoires qu'ils nous ont racontées, avec leurs formes." @mikainstagram crée ses propres costumes de scène et ils sont superbes. 🤩

 

 

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You may read AUTO-translate.

 

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On 11/27/2023 at 10:57 PM, Anna Ko Kolkowska said:

 

Yes, this symphonic evening when talents are performing with an orchestra.

 

Is that in Paris? And will there be an audience? I've checked the emissions.tv website, but at least on that website I can find nothing about it.

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TF1 Star Academy

 

 

#StarAcademy

Samedi les élèves seront accompagnés d'un orchestre philharmonique dirigé par

 
Ils partageront une chanson sur scène avec et RDV ce samedi 2 décembre à 21h10 sur
 
staracademytf1 IG story
 
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4 hours ago, Kumazzz said:

TF1 Star Academy

 

 

#StarAcademy

Samedi les élèves seront accompagnés d'un orchestre philharmonique dirigé par

 
Ils partageront une chanson sur scène avec et RDV ce samedi 2 décembre à 21h10 sur
 
staracademytf1 IG story
 

 

https://www.instagram.com/p/C0O_n8do5f_/

 

 

 

Voici les invités du prime 5 de la #StarAcademy 
#staracademy #starac

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I don't know if this is an exclusive interview or excerpts from another one, but anyway I haven't read it yet:

https://www.chartsinfrance.net/MIKA/news-126942.html 

 

Mika prêt à arrêter sa carrière pour son compagnon ? Sa réponse sans tabou

Par Julien GONCALVES | Rédacteur

Mika s'apprête à sortir son nouvel album "Que ta tête fleurisse toujours", intégralement chanté en français. Il dédie notamment une chanson à son compagnon, très discret, avec "Moi, Andy et Paris". Pourrait-il arrêter sa carrière par amour ? Il répond en exclu sur Purecharts !

 

Mika  sortira ce vendredi son nouvel album "Que ta tête fleurisse toujours", inspiré par la disparition tragique de sa maman qui l'implorait de ne jamais arrêter d'être créatif. « J'adore l'idée de conjurer le sort, de métaboliser ou métamorphoser la mort. Il y a un livre iconique de mon enfance que j'adore avec une chenille qui bouffe toutes les feuilles et qui d'un coup devient un papillon. J'aime bien l'idée qu'un album et des chansons puissent faire la même chose, même quand c'est quelque chose de douloureux comme une rupture ou la disparition de quelqu'un » confie le chanteur dans une interview à paraître sur Purecharts. Emmené par les singles "C'est la vie", "Apocalypse Calypso" ou "Jane Birkin", le disque renferme aussi une chanson, "Moi, Andy et Paris", qui évoque sa relation avec son compagnon Andreas Dermanis, surnommé Andy.

 

"Il faut trouver un équilibre"

 

Surprise, il ne s'agit pas d'une chanson d'amour, mais de rupture ! Mika nous a expliqué pourquoi. « Nous, ça fait 18 ans qu'on est ensemble, et je crois que chaque grande histoire d'amour si vous voulez, ou long-terme, est formée de beaucoup de ruptures. Quand on réussit à faire un pont avec une grande rupture, ça devient une force, comme si c'était des muscles. Le plus on arrive à en former, le plus on pourra peut-être y résister » assure celui qui a « besoin de piquant » au quotidien pour garder la flamme intacte. Alors que son compagnon n'aime pas du tout être dans la lumière, et estime que le métier de son amoureux prend trop de place pour qu'ils puissent devenir parents par exemple, Mika pourrait-il tout arrêter afin de se focaliser sur sa vie privée ? « Tout arrêter, je ne sais pas ce que c'est » confesse l'artiste à notre micro, lui qui a « commencé très jeune » ce métier, à l'âge de huit ans !

 

Et l'interprète de "Yo Yo" est lucide sur son activité et son besoin vital de créer. « Mon système de valeur pour moi-même, et c'est horrible de le dire, est aussi connecté au fait que j'aime mon travail et que je veux le faire » confie Mika en toute honnêteté, et il ne se voit pas du tout mettre un terme à sa carrière par amour : « Tout arrêter pour une vie privée ce serait impossible car la vie privée souffrira. Je serai complètement intolérable ». Cependant, à 40 ans, le chanteur n'est pas contre ralentir un peu dans les années à venir : « Il faut trouver un équilibre, et peut-être que je ne l'ai pas trouvé pour l'instant. Peut-être que c'est un challenge pour le futur... ».

 

Google translate :uk:

Spoiler

Mika ready to stop his career for his partner? His answer without taboo

By Julien GONCALVES | Editor

 

Mika is preparing to release his new album “Que ta tête fleurisse toujours”, entirely sung in French. He notably dedicates a song to his companion, very discreet, with “Me, Andy and Paris”. Could he end his career for love? He answers exclusively on Purecharts!

 

Mika  will release his new album “Let your head always bloom” this Friday, inspired by the tragic disappearance of his mother who implored him to never stop being creative. “I love the idea of warding off fate, of metabolizing or transforming death. There is an iconic book from my childhood that I love with a caterpillar that eats all the leaves and suddenly becomes a butterfly. I like the idea that an album and songs can do the same thing, even when it's something painful like a breakup or the disappearance of someone” confides the singer in an interview to be published on Purecharts . Led by the singles "C'est la vie", "Apocalypse Calypso" and "Jane Birkin", the disc also contains a song, "Me, Andy and Paris", which evokes her relationship with her companion Andreas Dermanis, nicknamed Andy.

 

“We have to find a balance”

 

Surprise, it's not a love song, but a breakup song! Mika explained to us why. “We have been together for 18 years, and I believe that every great love story if you like, or long-term, is made up of a lot of breakups. When we succeed in bridging a major rupture, it becomes a force, as if it were muscles. The more we manage to form, the more we will perhaps be able to resist it” assures the one who “needs spice” on a daily basis to keep the flame intact. While her partner doesn't like being in the light at all, and believes that her lover's job takes up too much space for them to become parents for example, could Mika stop everything in order to focus on her life private? “Stopping everything, I don’t know what it is” confesses the artist to our microphone, he who “started very young” this profession, at the age of eight!

 

And the interpreter of “Yo Yo” is lucid about his activity and his vital need to create. “My value system for myself, and it's horrible to say it, is also connected to the fact that I love my work and that I want to do it” confides Mika in all honesty, and he doesn't see at all to put an end to his career for love: “To stop everything for a private life would be impossible because private life will suffer. I will be completely intolerable.” However, at 40, the singer is not against slowing down a little in the years to come: “You have to find a balance, and maybe I haven't found it yet. Maybe it’s a challenge for the future…”.

 

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Paris Match

30/11/2023 à 07:32

 

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Mika : « J’adore l’idée de tout brûler et de tout recommencer »

 

Seize ans après ses débuts, le chanteur revient avec un disque entièrement en français. Ses peines, ses amours, ses rêves, Mika a toujours la tête dans les étoiles. Rencontre.

 

On l’a connu jeune homme maladroit, présentant un premier album pop à souhait qui allait devenir un manifeste des années 2000. Vendu à plus de 5 millions d’exemplaires dans le monde (dont 1,4 million en France), le « Life in Cartoon Motion » de Mika aurait pu n’être qu’un phénomène éphémère. Mais le Libano-Américain n’a jamais cessé de continuer à inventer des chansons, des spectacles, des vêtements. Et de s’attacher les faveurs du public via le jury de « The Voice », où il affiche une verve et une fougue communicatives.

 

Mais, toujours, Mika revient à ­l’essentiel : la musique, qui lui a sauvé la vie, enfant, qui lui a permis de raconter ses tourments, ses joies et ses peines. Avec « Que ta tête fleurisse toujours », son premier album en français, il creuse un sillon introspectif d’une sincérité désarmante, et chante l’amour sur des mélodies magiques. On retrouve l’homme de 40 ans aux Studios Saint-Germain, l’antre parisien où il a en partie ­enregistré ce nouveau chapitre d’une carrière qu’on adore voir grandir.

 En changeant de langue, c’était comme si je défrichais un terrain neutre 

Mika


Paris Match. Pourquoi un album en français ?


Mika. Ça fait des années que je voulais me donner la possibilité de m’exprimer dans cette langue. Ce qui voulait dire abandonner mes réflexes d’auteur en anglais et trouver une autre manière d’écrire. J’ai dû aussi faire confiance à mon niveau de maîtrise du français. Ça a été une petite montagne personnelle à gravir… Au final, je me suis rendu compte que, en changeant de langue, c’était comme si je défrichais un terrain neutre. Mais j’ai fini par m’entourer d’auteurs, comme Dorian, que je connaissais déjà, et Carla De Coignac.

 C'est mon disque avec le plus de candeur… 

Mika


En définitive, “Que ta tête fleurisse toujours” est votre disque le plus intime…


Je dirais : mon disque avec le plus de candeur… “Bougez”, par exemple, le premier titre, est venu de Valérie Lemercier. Elle avait accepté d’enregistrer des chœurs et, en sortant du taxi pour ­arriver au studio, elle me lance : “J’en ai marre d’entendre ces trucs à la radio où l’on essaye de nous vendre de la bouffe qui va nous tuer ! Pour se déculpabiliser, ils disent : ‘Achetez notre merde, mais pour votre santé, bougez plus.’ Il faut écrire une chanson, il faut porter plainte !” Et c’est comme ça que “Bougez” s’est imposé : on vit dans une société où l’on bougera jusqu’en enfer, même si tout a l’air doux et sensuel. Alors qu’en fait non. Cette première chanson est une résistance au légalisme dans lequel nous vivons.


Vous ressentez chaque jour cette envie de sortir du quotidien ? De vous extraire du monde dans lequel on vit ?


La musique donne le privilège d’avoir son propre regard sur le monde qui nous entoure. Elle permet de s’en extraire et c’est pour ça que les concerts existent, que l’on continue à sortir des albums. Je mesure la chance que j’ai de vivre de mon rêve d’enfance. Parce que je ne savais pas comment j’allais y arriver, je priais Dieu de me donner la possibilité de peut-être pouvoir le faire. Et ça, ce n’est pas une exagération.

 Jane Birkin incarnait quelque chose que je ne vivrais pas, jamais : la liberté totale 

Mika


Mais le plus important n’est-il pas d’avoir réussi à vous maintenir dans ce monde de la musique ?


Je n’aime pas ce mot “maintenir”. Je me suis toujours dit que j’allais rester le fan qui adore la musique, l’art et les concerts, sans jamais me comparer à qui que ce soit. Parce que la curiosité est une valeur fondamentale.


Vous rendez hommage à Jane Birkin, autre grande curieuse…


Elle incarnait quelque chose que je ne vivrais pas, jamais : la liberté totale. Birkin a exploré le sexe, le corps, la nudité, mais elle est toujours restée élégante, jamais vulgaire. Qui a cette possibilité aujourd’hui d’être aussi punk et poétique en même temps ? Le monde a tellement changé. En tout cas, moi, elle m’a toujours bouleversé.

 Les chansons ne sont pas des Bisounours, elles sont là pour compliquer nos vies 

Mika


Vous célébrez aussi l’apocalypse. Qu’est-ce qui vous plaît dans la fin du monde ?


J’adore l’idée de tout brûler et de tout recommencer. On peut alors faire tout ce dont on avait honte parce qu’on avait peur des conséquences. L’apocalypse a toujours été une chose importante dans l’art, dans la religion, dans la mythologie, via cette idée qu’elle arrive “prochainement”. Enfant, j’ai souffert pendant près de quatre ans de terreurs nocturnes, on me retrouvait même parfois dans la rue. Quand on me demandait de quoi je rêvais, je répondais ­toujours “de la fin du monde”. C’est drôle, parce qu’aujourd’hui je suis extrêmement joyeux. Mais peut-être que la musique m’a aidé à me stabiliser.


Elle vous aide à raconter vos peines de cœur. Notamment dans “Moi, Andy et Paris”, chanson de rupture, adressée à votre compagnon…


C’est aussi une chanson d’amour ! Je parle du triangle amoureux, entre Andy, Paris et moi. Et je dis que les trois ensemble, ce n’est pas possible… Andy est venu à Paris, on s’est disputé. Je lui ai demandé de partir et je ne lui ai pas parlé pendant deux mois. Qu’est-ce que je pouvais faire durant ces deux mois ? Eh bien, j’ai écrit ça… Les chansons ne sont pas des Bisounours, elles sont là pour compliquer nos vies. Mais bon, ça fait dix-neuf ans qu’on est ensemble, donc écrire sur nos problèmes me permet aussi d’aller mieux.

 J’ai arrêté de faire semblant de ne pas aimer ce que je fais 

Mika


Vous lui dites plus de choses à travers vos chansons ?


En général, je dis plus dans mes chansons que dans la vie… C’est aussi compliqué et bête que ça. À quoi sert la vie si on ne peut pas la transformer dans une chanson ou dans un dessin ? Je me suis rendu compte en écrivant le titre sur Andy que ça interpellait beaucoup le public francophone. Mais pour un Anglo-Saxon comme moi, c’est absurde, ce ne devrait pas être aussi choquant de se livrer de cette manière ou de partager sa vie intime.


Dans “Doucement”, il y a cette confession : “Alors respire, tout ira bien. D’aller plus vite, on ne va pas plus loin…”


C’est un petit peu un message à moi-même, oui… En vérité, j’ai arrêté de faire semblant de ne pas aimer ce que je fais. J’admets et j’accepte qu’il y ait beaucoup de joie dans ma vie. Au décès de ma mère, il y a deux ans, tout s’est écroulé, je travaillais avec elle depuis si longtemps… Il a fallu reconstruire avec de nouvelles personnes comme avec les anciennes, mais avec tout le sens du collectif, du clan. Et ce qui me réjouit au final, c’est que cela ne tourne pas autour de moi.

 L’idée de jouer avec la vie, cela vient de ma mère 

Mika


Vous avez pris le temps de raconter la maladie de votre mère, sa tumeur au cerveau, son décès…


Oui, c’était important pour moi de la déstigmatiser, parce que c’était la personne avec qui j’avais le lien le plus fort au monde. Ça a été aussi une manière de parler des choses qui nous font peur ou qui nous font du mal, et qui existent dans toutes les familles…


Quelles sont les valeurs que votre mère vous a transmises ?


En matière d’esprit, de philosophie, énormément de choses. Et ça, c’est beaucoup plus puissant que tout le reste. L’idée de jouer avec la vie, cela vient d’elle notamment.

 

Et les valeurs qui viennent de votre père ?


La rigueur. Il a aussi une manière plus calme de regarder le monde, ce qui fait de lui la personne peut-être la plus stable de la famille. Et il a une immense curiosité pour les autres cultures, une capacité d’empathie impressionnante. Il sait tout. Il connaît les rituels des gens à Oman et ceux des paysans, il parle six langues… Je parle peu de lui, parce que cela correspond bien à sa personnalité.


Vous avez souvent dit avoir eu une enfance stricte…


C’était un mélange de très grande rigueur et de liberté. J’ai commencé à sortir seul dans Soho à 14 ans, je rentrais à 4 heures du matin, mais cela ne posait pas de problèmes. Tant que je me comportais bien et que le jour d’après je ne loupais pas mes leçons de piano… Cela m’a permis, entre 14 et 17 ans, de découvrir une esthétique et une culture, surtout à Londres.

 

 Proposer quelque chose qui provoque une émotion, c’est encore ce que je cherche à faire 

Mika


Quels sont vos chocs de l’époque ?


Un clip d’INXS, “Need You Tonight”, assez moche, mais qui était la chose la plus puissante, pop, sexy de mon adolescence. Ensuite, il y a eu le film “Purple Rain” avec Prince, ou Jessye Norman habillée avec le drapeau français le 14 juillet 1989. Avec ma mère et mes sœurs, nous étions sur les Champs-Élysées, cela a été pour nous un moment magique. Enfin, le concert de Michael Jackson au stade de Wembley, retransmis en direct sur la BBC. Mes sœurs et moi avions déplacé la télévision dans la cuisine, pour qu’on puisse manger et regarder le concert en même temps. C’était juste canon. Le voir finir le concert en s’envolant dans les airs était fou, il nous vendait du rêve !


Vous aussi, quand vous faites le Parc des Princes en 2008, juste après votre premier album, vous montrez qu’il faut croire en ses rêves…


Je me souviens d’une réunion préparatoire où les gens ne comprenaient pas encore ma manière de faire. J’ai commencé par un brief où je décrivais l’ambiance avant que le concert débute. Tout le monde pensait que j’étais complètement cinglé. J’ai dit : “Mais non, quand les gens rentrent, il faut qu’il y ait de la musique, un décor, un contexte, que l’on ne sache pas si l’on est dans un cauchemar ou dans un rêve.” J’avais déjà envie de proposer quelque chose qui provoque une émotion. Et rien n’a changé depuis, c’est encore ce que je cherche à faire.

 J’aimerais bien me confronter à de nouveaux défis musicaux 

Mika


Avez-vous des certitudes, aujourd’hui, par rapport à votre métier ?


Ce n’est pas une question que je me pose. Parce que je suis toujours en train de faire quelque chose. Il faut savoir ce qu’on veut, ce qui nous rend heureux. Et ce n’est pas nécessairement l’altitude qui nous nourrit le plus par rapport au processus créatif. J’aimerais bien me confronter à de nouveaux défis musicaux, parce que l’expérimentation est une bulle d’air. Plus on en a, plus on reste artiste.


Peu importe le succès commercial ?


Bien sûr, je regarde les ventes, je travaille dur pour faire connaître mon travail et je suis tout sauf blasé quand il s’agit de cela. Je suis impliqué à fond dans tous les projets que je porte, que ce soit à la télévision ou en musique.

 Le titre de l'album, c’est la dernière lettre que ma mère m’a envoyée 

Mika


Votre disque précédent n’avait pas vraiment marché…


Oui, mais la tournée qui a été annulée à cause du Covid était sold out. Pour un artiste pop de 40 ans, remplir les salles, être tête d’affiche dans un festival, c’est encore un enjeu majeur. Mais vous savez, ce qui compte, au fond, c’est le contexte dans lequel les choses se font. Si l’environnement autour de vous est positif, si les vibrations autour du disque sont bonnes, alors c’est un succès. Je pars au printemps en Angleterre défendre un album en français et c’est déjà complet partout. Je rêve de présenter ce prochain spectacle à Los Angeles ou à New York. Mais qui sait ?


Nous n’avons pas encore parlé du titre de ce nouvel album, “Que ta tête fleurisse toujours”. Que signifie-t-il pour vous ?


C’est la dernière lettre que ma mère m’a envoyée. Elle ne pouvait plus écrire, alors elle dessinait sur un iPad. Elle m’a envoyé ce ­portrait de moi avec un tee-shirt sur lequel était écrit “Happy ­birthday. May your head always bloom.” Sur le moment je n’ai pas vraiment compris. Mais maintenant, je réalise un peu plus ce qu’elle a voulu me signifier : si ta tête fleurit, ça veut dire que tu es resté curieux du monde autour de toi. Ça veut dire que tu ressens les émotions, que tu peux être créatif, que tu peux avoir des idées, que tu peux ne pas avoir peur de l’échec, mais quand même le craindre ­suffisamment pour être à la recherche de l’excellence. Et que, peut-être, tu peux rester libre. Et tout ça ensemble, peut-être, juste peut-être, permet de trouver une manière de rester heureux. 

 

Google translate :uk:

 

Spoiler

 

Mika: “I love the idea of burning everything down and starting again”


Sixteen years after his debut, the singer returns with a record entirely in French. Her sorrows, her loves, her dreams, Mika always has her head in the stars. Encounter.


We knew him as a clumsy young man, presenting a first pop album that would become a manifesto of the 2000s. Sold more than 5 million copies worldwide (including 1.4 million in France), the “Life in Cartoon Motion” by Mika could only have been an ephemeral phenomenon. But the Lebanese-American never stopped inventing songs, shows, clothes. And to win the favor of the public via the jury of “The Voice”, where he displays an infectious verve and enthusiasm.


But, always, Mika returns to the essential: music, which saved his life as a child, which allowed him to recount his torments, his joys and his sorrows. With “That your head always blooms”, his first album in French, he digs an introspective furrow of disarming sincerity, and sings of love on magical melodies. We find the 40-year-old man at Studios Saint-Germain, the Parisian lair where he partly recorded this new chapter in a career that we love to see grow.

 

 

      By changing language, it was as if I was clearing neutral ground

     Mika


Paris Match. Why an album in French?


Mika. For years I wanted to give myself the opportunity to express myself in this language. Which meant abandoning my reflexes as an English author and finding another way of writing. I also had to trust my level of mastery of French. It was a small personal mountain to climb... In the end, I realized that, by changing languages, it was as if I was clearing neutral ground. But I ended up surrounding myself with authors, like Dorian, whom I already knew, and Carla De Coignac.

     

It’s my record with the most candor…

     Mika


Ultimately, “Let your head always bloom” is your most intimate record…


I would say: my record with the most candor… “Bougez”, for example, the first title, came from Valérie Lemercier. She had agreed to record backing vocals and, getting out of the taxi to arrive at the studio, she said to me: “I'm tired of hearing these things on the radio where they try to sell us food that will kill us! To relieve their guilt, they say: ‘Buy our s**t, but for your health, move more.’ You have to write a song, you have to file a complaint!” And that’s how “Move” imposed itself: we live in a society where we will move until hell, even if everything seems soft and sensual. When in fact no. This first song is a resistance to the legalism in which we live.


Do you feel this desire to get away from everyday life every day? To extract yourself from the world we live in?


Music gives you the privilege of having your own perspective on the world around us. It allows you to escape from it and that’s why concerts exist, why we continue to release albums. I measure how lucky I am to live my childhood dream. Because I didn't know how I was going to get there, I prayed to God to give me the opportunity to maybe be able to do it. And that's not an exaggeration.

 

      Jane Birkin embodied something I would never experience: total freedom

     Mika


But isn’t the most important thing to have managed to maintain yourself in this world of music?


I don’t like that word “maintain”. I always told myself that I was going to remain the fan who loves music, art and concerts, without ever comparing myself to anyone. Because curiosity is a fundamental value.


You pay tribute to Jane Birkin, another great curious person…


She embodied something that I would never experience: total freedom. Birkin explored sex, the body, nudity, but she always remained elegant, never vulgar. Who has this possibility today to be so punk and poetic at the same time? The world has changed so much. In any case, it always upset me.

      The songs are not Care Bears, they are there to complicate our lives

     Mika


You also celebrate the apocalypse. What do you like about the end of the world?


I love the idea of burning it all down and starting again. We can then do everything we were ashamed of because we were afraid of the consequences. The apocalypse has always been an important thing in art, in religion, in mythology, via this idea that it is coming “soon”. As a child, I suffered from night terrors for almost four years, sometimes even being found in the street. When people asked me what I dreamed of, I always answered “the end of the world”. It’s funny, because today I’m extremely happy. But maybe the music helped me stabilize.

 

She helps you talk about your heartache. Particularly in “Me, Andy and Paris”, a breakup song, addressed to your partner…


It’s also a love song! I'm talking about the love triangle, between Andy, Paris and me. And I say that the three together, it's not possible... Andy came to Paris, we had an argument. I asked him to leave and didn't speak to him for two months. What could I do during these two months? Well, I wrote that... The songs are not Care Bears, they are there to complicate our lives. But hey, we've been together for nineteen years, so writing about our problems also helps me get better.

 

      I stopped pretending not to like what I do

     Mika


Do you tell him more things through your songs?


In general, I say more in my songs than in life... It's as complicated and stupid as that. What's the point of life if you can't transform it into a song or a drawing? I realized when writing the title about Andy that it really appealed to the French-speaking public. But for an Anglo-Saxon like me, this is absurd, it should not be so shocking to open up in this way or to share one's intimate life.


In “Softly”, there is this confession: “So breathe, everything will be fine. To go faster, we don’t go further…”


It’s a bit of a message to myself, yes… In truth, I stopped pretending not to like what I do. I admit and accept that there is a lot of joy in my life. When my mother died two years ago, everything fell apart, I had worked with her for so long... We had to rebuild with new people as with the old ones, but with all the sense of the collective, of the clan. And what pleases me in the end is that it doesn’t revolve around me.

 

      The idea of playing with life comes from my mother

     Mika


You took the time to tell about your mother's illness, her brain tumor, her death...


Yes, it was important for me to destigmatize her, because she was the person with whom I had the strongest connection in the world. It was also a way of talking about the things that scare us or hurt us, and which exist in all families...


What values did your mother pass on to you?


In matters of spirit, philosophy, a lot of things. And that is much more powerful than anything else. The idea of playing with life comes from her in particular.

 

And the values that come from your father?


Rigor. He also has a calmer way of looking at the world, which makes him perhaps the most stable person in the family. And he has an immense curiosity for other cultures, an impressive capacity for empathy. He knows everything. He knows the rituals of the people in Oman and those of the peasants, he speaks six languages... I don't talk much about him, because it fits his personality well.


You have often said that you had a strict childhood…


It was a mixture of great rigor and freedom. I started going out alone in Soho when I was 14, I would come home at 4 a.m., but it didn't cause any problems. As long as I behaved well and the next day I didn't miss my piano lessons... This allowed me, between the ages of 14 and 17, to discover an aesthetic and a culture, especially in London.

 

      Propose something that provokes an emotion, that’s still what I’m trying to do

     Mika


What were your shocks of the time?


An INXS clip, “Need You Tonight”, quite ugly, but which was the most powerful, pop, sexy thing of my adolescence. Then there was the film “Purple Rain” with Prince, or Jessye Norman dressed with the French flag on July 14, 1989. With my mother and my sisters, we were on the Champs-Élysées, it was a moment for us Magic. Finally, Michael Jackson's concert at Wembley Stadium, broadcast live on the BBC. My sisters and I moved the television into the kitchen, so we could eat and watch the concert at the same time. It was just hot. Seeing him finish the concert by flying into the air was crazy, he was selling us a dream!


You too, when you performed at the Parc des Princes in 2008, just after your first album, you showed that you have to believe in your dreams...


I remember a preparatory meeting where people did not yet understand my way of doing things. I started with a brief where I described the atmosphere before the concert started. Everyone thought I was completely crazy. I said: “But no, when people come in, there has to be music, a setting, a context, so that we don’t know if we are in a nightmare or a dream .” I already wanted to offer something that provokes an emotion. And nothing has changed since then, that’s still what I’m trying to do.

 

      I would like to confront new musical challenges

     Mika

 

Do you have any certainties today about your job?


This is not a question I ask myself. Because I'm always doing something. We have to know what we want, what makes us happy. And it’s not necessarily the altitude that nourishes us the most in terms of the creative process. I would like to confront new musical challenges, because experimentation is a breath of fresh air. The more we have, the more we remain an artist.


Who cares about commercial success?


Sure, I look at sales, I work hard to get my work out there, and I'm anything but jaded when it comes to it. I am deeply involved in all the projects I carry out, whether on television or in music.

 

      The title of the album is the last letter my mother sent me

     Mika


Your previous album didn't really work...


Yes, but the tour that was canceled due to Covid was sold out. For a 40-year-old pop artist, filling venues and being a headliner at a festival is still a major challenge. But you know, what matters, ultimately, is the context in which things are done. If the environment around you is positive, if the vibrations around the disk are good, then it is a success. I'm going to England in the spring to defend an album in French and it's already sold out everywhere. I dream of presenting this next show in Los Angeles or New York. But who knows?


We haven’t yet talked about the title of this new album, “Let your head always bloom”. What does it mean to you?


This is the last letter my mother sent me. She couldn't write anymore, so she drew on an iPad. She sent me this portrait of me with a t-shirt that said “Happy birthday. May your head always bloom.” At the time I didn't really understand. But now, I realize a little more what she wanted to tell me: if your head is blooming, it means that you have remained curious about the world around you. It means that you feel emotions, that you can be creative, that you can have ideas, that you can not be afraid of failure, but still fear it enough to be in search of excellence. And that, perhaps, you can remain free. And all of this together, maybe, just maybe, allows us to find a way to stay happy.

 

 

 

 

 

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Mika, aux studios Saint-Germain, le 6 novembre 2023. © Manuel Lagos Cid / Paris Match

 

 

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Avec «Que ta tête fleurisse toujours », son premier album en français, Mika creuse un sillon introspectif d’une sincérité désarmante. Paris Match / © Vincent Capman

 

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Edited by Kumazzz
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24 minutes ago, mellody said:

IG Stories by Mika's French manager:

2 about the Paris Match interview, I see Eriko just posted that. :thumb_yello:

And also Mika was on BFMTV this morning:

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Screenshot_20231130_082712_Instagram.jpg

 

BFMTV

Dailymotion

 

https://dai.ly/x8q3acwhttps://dai.ly/xhttps://www.dailymotion.com/embed/video/x8q3acw?autoplay=1

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 I'm sorry... can't find out WEB magazine or PDF file... :no:

I'd like to read the INTERVIEW so much.

:bow: Could anyone please scan ( or take pics ) the magazine and post it here ? Thank you.

 

 

https://www.sudinfo.be/id752700/article/2023-11-29/elle-savait-quelle-allait-mourir-elle-ma-envoye-ce-message-fort-comment-la-maman

 

«Elle savait qu’elle allait mourir, elle m’a envoyé ce message fort»

: comment la maman de Mika l’a inspiré pour son nouvel album

 

 

L’interprète de « Relax » sort son premier album en français, « Que ta tête fleurisse toujours », dont le titre a été inspiré par un dessin fait par sa maman peu avant son décès.

 

 

Mika sort un nouvel album, dont le titre est « Que ta tête fleurisse toujours ». Une phrase qui vient d’un dessin et des mots envoyés par sa maman peu avant sa disparition… « C’est un dessin qu’elle m’avait fait pour mon anniversaire, quand elle ne pouvait plus écrire. Mes sœurs lui avaient acheté un iPad. Et elle a fait un dessin de moi, très naïf, avec des fleurs sortant de ma tête, et une phrase, ‘May your head always bloom’. ‘Que ta tête fleurisse toujours’ », confie le chanteur à Ciné-Télé-Revue.

 

 

« J’ai mis du temps à comprendre ce qu’elle avait voulu exprimer. Elle avait un cancer agressif du cerveau, sa propre tête avait du mal à fleurir, à se régénérer, elle savait qu’elle allait mourir, et elle m’a envoyé ce message fort avec très peu de mots, pour me dire qu’elle espère que ça ne m’arrivera pas et que ma tête continuera à fleurir. J’ai commencé à travailler avec elle à 7 ans et j’ai continué jusqu’à peu avant sa mort. Et c’est comme si elle me disait de continuer, sinon ça aurait servi à quoi tout ce qu’on a fait ? C’est à moi de prendre le relais. C’est un sacré défi. Elle est incroyable, même après sa disparition elle me fout la pression ! »

 

:uk: Google translator

Spoiler

 

“She knew she was going to die, she sent me this strong message”:

how Mika’s mother inspired him for his new album

 

 

The singer of “Relax” released his first album in French, “Que ta tête fleurisse aussi”, the title of which was inspired by a drawing made by his mother shortly before her death.

 

 

Mika is releasing a new album, the title of which is “May your head always bloom”. A sentence that comes from a drawing and words sent by her mother shortly before her disappearance... “It’s a drawing that she made for me for my birthday, when she could no longer write.

My sisters bought her an iPad. And she made a drawing of me, very naive, with flowers coming out of my head, and a phrase, ‘May your head always bloom’.’” the singer confides to Ciné-Télé-Revue.

 

 

“It took me a while to understand what she wanted to express. She had aggressive brain cancer, her own head was having trouble flowering, regenerating, she knew she was going to die, and she sent me this strong message with very few words, to tell me that she hope this doesn't happen to me and that my head continues to bloom. I started working with her at age 7 and continued until shortly before her death. And it’s as if she was telling me to continue, otherwise what would have been the point of everything we did? It's up to me to take over. It's quite a challenge. She is incredible, even after her disappearance she puts pressure on me! »

 

 

 

Une interview à lire en intégralité ce jeudi 30 novembre dans votre Ciné-Télé-Revue.

 

VIDEO

Edited by Kumazzz
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4 hours ago, Kumazzz said:

 

BFMTV

Le 30/11/2023 à 10:25

https://www.bfmtv.com/people/musique/il-ne-faut-pas-faire-semblant-que-la-vie-est-parfaite-mika-evoque-son-nouvel-album-entre-legerete-et-gravite_AV-202311300370.html

 

 

 

"Il ne faut pas faire semblant que la vie est parfaite": Mika évoque son nouvel album, entre légèreté et gravité

 

Le chanteur était présent ce jeudi à l'antenne de BFMTV pour présenter son sixième album studio, Que ta tête fleurisse toujours, fait d'une pop festive pour mieux parler de sujets sérieux.

Mika dévoilera ce vendredi Que ta tête fleurisse toujours, son sixième album studio, cinq ans après My Name is Michael Holbrook. Un retour en français pour cet artiste polyglotte, dont quelques extraits ont déjà été dévoilés. À 24 heures de la sortie, le musicien de 40 ans s'est confié à BFMTV sur ce nouveau projet, un album "anti-morosité"... Mais pas que:

"Ça parle quand même de choses sérieuses, de ma vie, de ma famille, de la vie de tous les jours... Mais oui, cet album me métamorphose. Je cherche à métaboliser la partie dure de la vie pour la transformer en quelque chose d'autre."

 

C'est la vie, premier single sorti en septembre, en est le parfait exemple. Cette chanson pop entraînante est un hommage à sa mère disparue: "Je parle du deuil, de la disparition de ma mère avec qui je travaille depuis que j'étais très jeune, mais je cherche à le transformer en quelque chose d'autre. Je dis: 'C'est ça la vie / C'est ça la mort / Que ta tête fleurisse, fleurisse encore'. C'est quelque chose qu'elle me disait toujours."

"Il ne faut pas faire semblant que la vie est parfaite", poursuit-il. "C'est mieux de répondre à la vie et de confronter toutes nos peurs, les mettre en musique. Si on doit pleurer, c'est mieux de pleurer en dansant en même temps; c'est mon engagement d'artiste. Je pense que tous ont la responsabilité d'être poétiquement engagés et c'est ce que j'appelle une sorte de douce résistance. Danser c'est lutter; même si on a les larmes aux yeux."

"La mélodie est un baume"

Celui qui s'est fait connaître avec les tubes anglophones Grace Kelly et Relax, Take it Easy revient avec un opus entièrement francophone: "J'écris en anglais depuis que je suis tout petit, j'avais peur de me limiter, de ne pas pouvoir m'exprimer. En revanche, ce qui s'est passé, c'est comme si j'avais l'impression que je parlais juste entre nous, à nous."

Ce qui lui a permis de s'aventurer sur des terrains très personnels, notamment avec une chanson sur son conjoint intitulée Moi et Andy et Paris: "C'était après une énorme dispute, on ne s'est pas parlé pendant des semaines." Une quasi-chanson de rupture, car il "ne savait pas si ça allait l'être."

 

Deux autres extraits sont déjà parus: Jane Birkin, hommage à la chanteuse disparue en juillet dernier, et Apocalypse Calypso: "Je pense que la mélodie est un baume, ça adoucit certaines choses. Quand j'étais à l'école, quand je me retrouvais très isolé (...) je sentais que si je mettais de la mélodie avec quelque chose que je voulais dire au lieu d'être complètement ignoré, que peut-être les gens autour de moi allaient m'écouter.

Un réflexe qu'il n'a jamais perdu. Il confie ainsi avoir écrit Relax, Take it Easy, son tube qui a fait danser le monde en 2006, "dans un train de métro pendant les attentats à Londres": "C'est vraiment cette idée de transformer la vie de tous les jours, c'est très important."

Bientôt en tournée

Et qui dit nouvel album dit, bien sûr, nouvelle tournée. Celle de Mika, l'Apocalypse Calypso Tour, donnera son coup d'envoi le 1er mars à Bordeaux et s'achèvera le 11 avril à Dublin après avoir traversé la France.

Mika se produira notamment à Paris, à l'Accor Arena, le 25 mars. Il donnera également plusieurs concerts à travers l'Europe, de Genève à Londres en passant par Amsterdam ou Bruxelles.

 
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On 11/25/2023 at 3:20 AM, mellody said:

Seems there was another interview at 6pm, did anyone listen to it, or is it online? If not, it'll be repeated tomorrow at 10am - but we might have to record that if they don't put it online.

https://www.instagram.com/p/C0B5zWztff6/?igshid=ZDE1MWVjZGVmZQ==

 

Screenshot_20231124_191646_Instagram.jpg

 

Good quality sounds ! :thumb_yello:

 

Sanef 107.7

( aired on 24 November 2023 )

 

SoundCloud

Un nouvel album pour Mika (interview version intégrale)

 

Description

 

Notre invité cette semaine est le chanteur Mika !

Il nous dévoile les premiers secrets de son nouvel au titre très poétique "Que ta tête fleurisse toujours".

Ses concerts, ses sources d'inspiration, son retour dans "The Voice", il nous dit tout au micro de Laurie Leclère ! 

 

https://www.instagram.com/p/C0R0BZZLaQl/

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( cropped )

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RTL France

RTL Matin

 

 

IG story

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YouTube

 

La passion de Mika pour les supermarchés

 

 

Mika invité de RTL Matin (intégrale)

 

 

X ( Twitter )

 

« Moi, Andy et Paris » : dans ce titre,

évoque pour la première fois l’homme qui partage sa vie.

Au micro de @StevenBellery dans #RTLMatin.

 

 

« Je suis partout mais j’ai ma valise de musique. J’ai eu cette chance de former cette troupe, comme si j’avais mon propre cirque »

@mikasounds invité de #RTLMatin avec @StevenBellery et Yves Calvi

 

 

« Les 2 lieux où je me sens à la maison, c’est la scène et les supermarchés »

 

 

Mika chantera-t-il à la cérémonie d’ouverture des @jeuxolympiques à Paris ?

« Aucune idée, ce serait un énorme honneur » Au micro de @StevenBellery

 

 

 

RTL France

https://www.rtl.fr/culture/musique/invite-rtl-mika-se-confie-sur-cette-chanson-qui-n-a-pas-plu-a-son-compagnon-7900326757

publié le 01/12/2023 à 09:07

 

🔴MP3 https://cdn-media.rtl.fr/online/sound/2023/1201/7900326912-musique-mika-est-l-invite-de-yves-calvi.mp3

 

INVITÉ RTL - Mika se confie sur cette chanson qui n'a pas plu à son compagnon

 

Mika est l'invité de RTL, ce vendredi 1ᵉʳ décembre, pour la sortie de son nouvel album "Que ta tête fleurisse toujours". Il y évoque, pour la première fois, sa relation avec son compagnon Andy, dans la chanson "Moi, Andy et Paris".

 

 

'interprète de Relax est de retour avec un nouvel album intitulé Que ta tête fleurisse toujours, une phrase prononcée par sa mère à son intention. C'est son premier disque intégralement en français et il y évoque des sujets très intimes comme le sexe, la vieillesse et la mort.   

 

Dans une de ses chansons, il cite pour la première fois son compagnon Andy, qui partage sa vie depuis 19 ans. Son titre, Moi Andy et Paris, n'a pas été beaucoup apprécié par sa moitié. "C'est une des premières chansons que j'ai écrites", révèle le chanteur, invité de RTL ce vendredi 1er décembre.

 

"On a eu une énorme dispute, il est parti à l'aéroport, on était à Paris et on ne s'est pas parlé pendant quelques semaines", raconte-t-il. Pour répondre à ce qui s'était passé, il s'est mis à écrire : "Je ne sais pas pourquoi, sans calculer, sans réfléchir, ça ne faisait pas partie d'un projet", assure-t-il. 

Une vie de "Passager"

Si la chanson est écrite en français, ce n'est pas un hasard. "Si je pouvais parler de lui dans une langue qu'il n'allait pas comprendre, je pouvais parler plus librement", confie Mika. 

Les deux hommes habitent à plusieurs endroits à la fois. Ils sont une partie de l'année en Italie et l'autre aux États-Unis. Une situation pas toujours évidente qu'il évoque dans son titre Passager. Ces nombreux déplacements compliquent aussi sa relation : "Mon activité me provoque certaines pressions et donc c'est comme si, ici à Paris, on était trois dans le couple. Il y a moi, Andy et la France. Moi, Andy et Paris". 

 

:uk: Google translator

Spoiler

 

RTL GUEST - Mika talks about this song that his companion didn't like


Mika is the guest of RTL, this Friday, December 1st, for the release of his new album “Let your head always flower”. He evokes, for the first time, his relationship with his companion Andy, in the song “Me, Andy and Paris”.

 

The singer of Relax is back with a new album entitled Let your head always bloom, a phrase spoken to him by his mother. It is his first album entirely in French and he discusses very intimate subjects such as sex, old age and death.


In one of his songs, he cites for the first time his companion Andy, who has shared his life for 19 years. His title, Me Andy and Paris, was not much appreciated by his other half. “It’s one of the first songs I wrote,” reveals the singer, guest on RTL this Friday, December 1.


“We had a huge argument, he left for the airport, we were in Paris and we didn’t speak for a few weeks,” he says. To respond to what had happened, he began to write: “I don’t know why, without calculating, without thinking, it wasn’t part of a project,” he assures.


A life of "Passenger"

 

If the song is written in French, it is no coincidence. “If I could talk about him in a language he wouldn't understand, I could speak more freely,” Mika confides.

The two men live in several places at the same time. They are part of the year in Italy and the other in the United States. A not always obvious situation that he evokes in his title Passenger. These numerous trips also complicate his relationship: "My activity causes me certain pressures and so it's as if, here in Paris, there were three of us in the couple. There's me, Andy and France. Me, Andy and Paris" .

 

 

 

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On 11/28/2023 at 6:01 PM, Anna Ko Kolkowska said:

The virtual concert for L'Invit Live will be broadcast this Friday December 1st on YouTube.

 

 

 

 

 

https://www.instagram.com/p/C0TbZFTivcx/

 

e.leclerccaen

 

🎶 #LiveMusique 🎶

🎤 Mika vous donne rendez-vous ce vendredi pour une expérience musicale inoubliable dans L'invit'Live ! 🎉

🌟 Préparez-vous à vivre une soirée magique pleine de bonnes vibes avec Mikainstagram ! 🎶

#ELeclerc #Leclerc #Caen #LeclercCaen #MikaLive #EspaceCulturelLeclerc #RendezVousAvecMika #VendrediMusical

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Les Echos Week-end - 1er Décembre 2023

 

 

LES  MENUS  PLAISIRS  DE...

 

MIKA

L’artiste libano-américanobritannique sort un premier album 100% en français, « Que ta tête fleurisse toujours».

Il est si gourmand que son dîner l’obsède dès le réveil.

 

Dans un titre, vous répétez « pour votre santé, bougez ». Vous vous l’appliquez ?

 

À fond! Je cours presque 50 km par semaine, je fais de l’escalade et du mountain bike, je me suis mis à l’équitation avec saut d’obstacles il yaune dizaine d’années et j’apprends la voile. Je ferai du sport tant que mes genoux fonctionneront, c’est la meilleure méditation pour moi.

 

Vous êtes fan de rugby ?

 

J’ai grandi en Angleterre, un pays où la culture du rugby est très forte. J’ai été ravi que certains matches de la Coupe du monde fassent des audiences de plus de 18 millions de téléspectateurs pour la première fois en France. Vous avez animé l’avant-show de la finale. Stress ou plaisir ? Plaisir, exubérance, adrénaline, stress et panique aussi à cause de la pluie mais, à la fin, j’en garde le souvenir d’un moment beau et poétique après sept mois de travail intense. Ce fut une rencontre magnifique avec les enfants de la mêlée des chœurs.

 

Vous avez pris plaisir à créer les costumes de ce mini-show ?

 

J’ai un atelier de création dans les Pouilles qui emploie sept personnes à la fabrication de vêtements, de décors et d’objets au service de mon propos. Pour ce show, on avait découpé 1 500 morceaux de miroir au laser pour mon costume. Chaque enfant avait son habit sur mesure. J’ai présenté une émission télévisée en Italie, Stasera Casa Mika, qui était aussi un petit miracle de joie et de subversion, avec ses décors réalisés par des artistes hollandais exposés au MET et ses costumes créés par Valentino. On a vécu des moments dingues, Monica Bellucci sortant d’un frigo, Sting d’un cœur géant, Kylie Minogue d’une maison de poupées. La vie serait moins intéressante sans ces moments-là…

 

Vous avez la réputation d’être gourmand ?

 

Dès le réveil, je pense à mon dîner. Je garde un carnet avec les bonnes adresses où j’ai mangé dans le monde entier. Après un concert, je peux faire deux heures de route pour retourner dans l’un de ces endroits : un petit resto à Naples avec ses chaises en plastique, une adresse dans les ruelles de Bari où l’on mange sur des tabourets en bois, une maison très années 60 dans les collines du Piémont tenue par une mère et son fils. Comme je finis par les connaître, ils m’invitent souventàmanger seul dans leur cuisine, un vrai bonheur.

 

Vous cuisinez ?

 

Mon bureau, c’est la cuisine! Je prépare des quantités astronomiques de nourriture. Je crois que j’ai la plus grande collection de Tupperware du monde pour stocker tout ça ! Une vraie grand-mère libanaise hors de contrôle…

 

Que n’avez-vous pas encore tenté ?

 

Signer une bande originale de film, par exemple pour un manga, mettre en scène un opéra, écrire la musique d’un ballet. Tant de choses me font envie…

 

LÀ, TOUT DE SUITE, QU’EST-CE QUI VOUS FERAIT LE PLUS PLAISIR ?

 

Étudier sérieusement la cuisine, commencer tout en bas en épluchant les légumes, puis apprendre des choses de plus en plus sophistiquées, étudier les cuissons, etc. Propos recueillis par Isabelle Lesniak Photographe: Stéphane Lavoué En tournée à partir de mars 2024.

 

:uk: Google translator

Spoiler

 

THE  PLEASURE  MENUS  OF...


MIKA

The British-Lebanese-American artist releases a first album 100% in French, “Que ta tête fleurisse aussi”.

He is so greedy that his dinner obsesses him from the moment he wakes up.


In one title, you repeat “for your health, move”. Do you apply it to yourself?


Thoroughly! I run almost 50 km per week, I climb and mountain bike, I took up horse riding with show jumping around ten years ago and I am learning to sail. I will exercise as long as my knees work, it is the best meditation for me.


Are you a rugby fan?


I grew up in England, a country where the rugby culture is very strong. I was delighted that certain World Cup matches attracted audiences of more than 18 million viewers for the first time in France. You hosted the pre-show for the final. Stress or pleasure? Pleasure, exuberance, adrenaline, stress and panic also because of the rain but, in the end, I keep the memory of a beautiful and poetic moment after seven months of intense work. It was a magnificent meeting with the children from the choir scrum.


Did you enjoy creating the costumes for this mini-show?


I have a creative workshop in Puglia which employs seven people to manufacture clothes, decorations and objects serving my purpose. For this show, we laser cut 1,500 pieces of mirror for my costume. Each child had their own tailor-made outfit. I presented a television show in Italy, Stasera Casa Mika, which was also a little miracle of joy and subversion, with its sets created by Dutch artists exhibited at the MET and its costumes created by Valentino. We had some crazy moments, Monica Bellucci coming out of a fridge, Sting coming out of a giant heart, Kylie Minogue coming out of a doll's house. Life would be less interesting without these moments...


Do you have a reputation for being greedy?


As soon as I wake up, I think about my dinner. I keep a notebook with the good places where I have eaten around the world. After a concert, I can drive two hours to return to one of these places: a small restaurant in Naples with its plastic chairs, an address in the streets of Bari where we eat on wooden stools, a very 60s house in the hills of Piedmont run by a mother and her son. As I get to know them, they often invite me to eat alone in their kitchen, a real joy.


You cook ?


My office is the kitchen! I prepare astronomical quantities of food. I think I have the largest collection of Tupperware in the world to store it all! A real Lebanese grandmother out of control…


What haven't you tried yet?


Sign a film soundtrack, for example for a manga, direct an opera, write music for a ballet. So many things make me want...


THERE, RIGHT AWAY, WHAT WOULD MAKE YOU MOST PLEASED?


Study cooking seriously, start at the bottom by peeling vegetables, then learn more and more sophisticated things, study cooking, etc. Comments collected by Isabelle Lesniak Photographer: Stéphane Lavoué On tour from March 2024.

 

 

 

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𝐌𝐚𝐝𝐚𝐦𝐞 𝐅𝐢𝐠𝐚𝐫𝐨 1er Décembre 2023

 

Musique● Les confessions pop de Mika

 

« POUR VOTRE SANTÉ : BOUGEZ VOTRE CORPS. »

Ainsi résonne le refrain en ouverture du nouvel album du chanteur-musicien, qui vit entre Londres, l’Italie et Miami. Son titre, Que ta tête fleurisse toujours, évoque la force imagée des haïkus japonais et la poésie dense d’énigmes de Paul Éluard. En contrepoint, sur des boîtes à rythmes house années 1990, aux teintes vives et en Technicolor, la voix de Mika s’amuse. Elle joue avec les mots, rebondit sur les voyelles, comme s’il faisait de la corde à sauter sur un seul pied. Entouré d’un orchestre de synthétiseurs, d’explosions de couleurs instrumentales, le chanteur réclame cette liberté folle, pleine de candeur, que la pop a offert à ses essors. Entre une chanson libératrice et un hymne de résistance, Mika se révèle avec une innocence joyeuse posée sur des messages profonds. À l’image du single intitulé C’est la vie, celui qui fera son grand retour comme coach dans The Voice signe un album hommage à l’amour et aux révolutions intimes. Dans ses douze titres, entièrement composés en français, Michael Holbrook Penniman de son vrai nom explore ses identités multiples, allant du Liban (où il est né et qu’il a quitté à 8 ans pour fuir la guerre), à l’Angleterre, où il a vécu, et l’Amérique, dont est originaire son père. Homme-orchestre, Mika parvient à faire jaillir chaque nuance de son histoire, entre ballades incisives (dont un hommage à Jane Birkin), et titres dansants.

 

● P. G. « Que ta tête fleurisse toujours », Universal

 

:uk: Google tranlstor

Spoiler

 

Music● Mika’s pop confessions


“FOR YOUR HEALTH: MOVE YOUR BODY. »

This is how the opening refrain of the new album from the singer-musician, who lives between London, Italy and Miami, resonates. Its title, Let your head always bloom, evokes the imaginative force of Japanese haikus and the dense enigma poetry of Paul Éluard. In counterpoint, on 1990s house drum machines, in bright colors and Technicolor, Mika's voice has fun. She plays with words, bouncing on vowels, as if jumping rope on one foot. Surrounded by an orchestra of synthesizers, explosions of instrumental colors, the singer demands this crazy freedom, full of candor, that pop has offered to its rise. Between a liberating song and an anthem of resistance, Mika reveals herself with a joyful innocence based on deep messages. Like the single entitled C’est la vie, the one who will make his comeback as a coach in The Voice signs an album tribute to love and intimate revolutions. In his twelve titles, composed entirely in French, Michael Holbrook Penniman, his real name, explores his multiple identities, ranging from Lebanon (where he was born and which he left at the age of 8 to flee the war), to England, where he lived, and America, where his father came from. One-man band, Mika manages to bring out every nuance of his story, between incisive ballads (including a tribute to Jane Birkin), and danceable tracks.

 

 

 

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